Une des plus douces images, dans lesquelles le Sauveur a voulu se peindre, est celle du Bon Pasteur. Il connaît aussi ses brebis, ses brebis le connaissent. Alors qu’un mercenaire s’enfuit à l’arrivée du danger, le Bon Pasteur défend ses brebis contre le loup et va jusqu’à mourir pour elles. Voilà le côté consolant et divin de cette image.
Mais elle a un revers. Jésus pense à toutes ces âmes qui vivent et vivront encore plus tard loin du bercail, et de son cœur s’échappe ce mot plein d’une mélancolique tristesse : « J’ai encore d’autres brebis qui ne sont pas de ma bergerie ; il faut que je les amène, et il n’y aura plus qu’un seul bercail et un seul pasteur ! ».
À nous, selon nos petits moyens, d’aider les âmes à venir ou à revenir au bercail où Jésus les attend.

QUESTIONNAIRE : 1. Que fait le bon Pasteur pour ses brebis ? — 2. Comment les défend-il ? — 3. N’y a‑t-il pas d’autres brebis qui ne sont pas encore entrées au bercail de Jésus ? — 4. Que devons-nous faire pour elles ?
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