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4 Décembre 2025Saint Pierre Chrysologue, Évêque et Docteur de l’Église

Pierre naquit en 406 à Imo­la, près de Ravenne, en Ita­lie. Dès son jeune âge, il fut pla­cé chez Cor­neille, évêque d’I­mo­la. Ayant fait auprès de lui de rapides pro­grès en science et en sain­te­té, il fut ordon­né diacre. Peu après, l’ar­che­vêque de Ravenne étant mort, les habi­tants, selon l’u­sage, envoyèrent à Rome dépu­ta­tion pour faire approu­ver le choix du suc­ces­seur Pierre se joi­gnit à ces gens. Le Pape avait vu en songe un jeune lévite qu’on lui mon­trait comme devant être le futur évêque de Ravenne. Il n’eut pas plus tôt aper­çu Pierre qu’il recon­nut en lui l’é­lu du Sei­gneur : reje­tant le can­di­dat des Raven­nais, il nom­ma le jeune diacre arche­vêque. Pierre fut sur­tout célèbre par son élo­quence, qui lui fit don­ner le sur­nom de Chry­so­logue, « parole d’or ». L’hé­ré­siarque Euty­chès ayant écrit aux évêques d’Oc­ci­dent une lettre pour en appe­ler de sa condam­na­tion, l’ar­che­vêque de Ravenne lui répon­dit : « Nous vous exhor­tons à vous sou­mettre avec obéis­sance à tout ce que vous a écrit notre très saint Père, le Pape ; le chef des Apôtres, qui vit tou­jours et gou­verne son Église en ses suc­ces­seurs, accorde la foi à tous ceux qui la cherchent sin­cè­re­ment. » Saint Pierre Chry­so­logue a été mis au nombre des Doc­teurs de l’Église.


Ouvrage : Tout l'Évangile en images | Auteur : Baeteman, R. P. J.

Pre­nant trois apôtres avec lui, Jésus mon­ta sur le Tha­bor, et là, il fut trans­fi­gu­ré devant eux. Ses vête­ments devinrent étin­ce­lants. Moïse et Elie appa­rurent, conver­sant avec lui. Saint Pierre hors de lui-même, vou­lait res­ter là, et pro­po­sait à Jésus de dres­ser des tentes sur la mon­tagne, mais, dit l’É­van­gile,…

Ouvrage : Le Christ-Roi | Auteur : Danemarie, Jeanne

PREMIER TABLEAU

PREMIER ACTE

(Le rideau se tire lentement.) 

M. LE CURÉ (debout à droite) 

La scène que vous allez voir se passe à Paray-le-Monial, dans un bureau. Vous voyez une immense table cou­verte de paquets. Ces paquets contiennent les signa­tures des catho­liques du monde entier pla­cées au bas des sup­pliques qui demandent au Pape d’é­ta­blir la fête du Christ-Roi. Voi­ci M. et Mme de Noaillat, les pro­mo­teurs de la fête. Ils reçoivent de nou­veaux paquets de signatures. 

(M. de Noaillat est figu­ré par un enfant sage qui tient très bien son rôle. Made­leine figure Mme de Noaillat. Comme elle est presque aus­si grande que sa mère, elle porte une robe de dame, blanche et bleue, très élé­gante et on a pu faire un chi­gnon avec ses che­veux débor­dants.)

UN ENFANT (arrive por­tant des paquets)

Voi­ci les signa­tures de Paris. Il y en a des mil­liers. Une dame très vieille est arri­vée avec d’autres paquets. Elle va venir.

UN AUTRE ENFANT

Voi­ci les signa­tures du Por­tu­gal. Je viens de Bra­ga. Tout le monde a vou­lu signer, je veux dire tous les braves gens. (Il pose les paquets et va sortir.)

MADAME DE NOAILLAT

Res­tez, res­tez. Nous atten­dons le Car­di­nal Lau­ren­ti. Il nous a télé­gra­phié son arri­vée, et il doit empor­ter à Rome tous ces livres. A Rome aus­si, il paraît qu’il arrive tous les jours des paquets de signa­tures (À un enfant qui entre.) Et vous, mon ami, d’où venez-vous ?

L’ENFANT

D’An­gle­terre, Madame. Voi­ci les signa­tures d’Ox­ford, de Londres, celles d’É­cosse, et aus­si celles d’Irlande.

UN AUTRE ENFANT

Et voi­ci la Bavière, la West­pha­lie. Et Cologne, Bonn, je ne sais plus. Il y en a des milliers.

UN AUTRE

Voi­ci le Cana­da, Qué­bec, Mont­réal. Otta­va, Toron­to ont envoyé direc­te­ment à Rome leurs signatures.

MADAME DE NOAILLAT 

Ne par­tez pas, res­tez, res­tez tous. 

UNE SŒUR (avec un panier rem­pli de paquets)

Je suis bien char­gée. Trois énormes paquets. Ce sont les signa­tures des Cou­vents de femmes en France.

UN PRÊTRE (la suit)

Voi­ci les péti­tions des Sémi­naires et des Cou­vents d’hommes, Béné­dic­tins, Jésuites, Carmes, etc., etc.

MADAME DE NOAILLAT 

Posez ces livres ici, vou­lez-vous ? et res­tez, nous atten­dons le Car­di­nal Laurenti. 

UNE DAME (entre et tire un paquet d’un grand sac) 

Voi­ci les Asso­cia­tions des Mères Chrétiennes. 

UNE JEUNE FILLE (la suit)

Et voi­ci celles des jeunes filles, Enfants de Marie, Rosaire, Chan­teuses, etc. 

MADAME DE NOAILLAT

Res­tez, mes­dames, vous ver­rez le Car­di­nal Lau­ren­ti tout à l’heure. 

(D’autres per­sonnes arrivent, des groupes d’hommes, de jeunes gens. On entend : Voi­ci le Véné­zue­la, Voi­ci des péti­tions de Chine, d’Ins­bruck. Il y a du brouhaha.) 

MADAME DE NOAILLAT 

Dou­ce­ment, et en ordre, Mes­dames, Mes­sieurs, je vous en prie. Vous pou­vez mettre tous ces livres sur la table, elle est solide.

UN ENFANT

Et voi­ci le Mexique. 

MADAME DE NOAILLAT (s’é­lance)

Met­tez au milieu de la table les livres du Mexique. Ils doivent être à l’honneur. 

UNE SŒUR

Oh ! non, Madame ! j’ai mis au milieu les signa­tures des prêtres. 

Ouvrage : Revue Bernadette | Auteur : Robitaillie, Henriette | Illustration : Iessel, Manon
Ouvrage : Tout l'Évangile en images | Auteur : Baeteman, R. P. J.

Made­leine était une péche­resse. Pour­sui­vie par les remords, elle aper­çoit Jésus qui passe et qui la regarde. N’en pou­vant plus, elle entre chez le Pha­ri­sien où le Sau­veur dînait, et, sans rien dire, se jette à ses pieds, pleure, et essuie les pieds du Maître de ses beaux che­veux dénoués.…

Ouvrage : Tout l'Évangile en images | Auteur : Baeteman, R. P. J.

Un jour, Jésus vit venir à lui un jeune homme qui lui deman­da ce qu’il devait faire pour aller au ciel. Le Sau­veur lui répon­dit : « Observe les com­man­de­ments ». Mais, répli­qua l’autre, « je les ai obser­vés depuis mon enfance ». Jésus alors, le regar­dant, l’ai­ma. Puis, devi­nant en lui une âme noble,…