Étiquette : <span>Noé</span>

| Ouvrage : Histoire Sainte Illustrée - bd .

Temps de lec­ture : minute
Noé cultive la vigne

avait trois fils : , et , des­quels sont sor­ties toutes les races humaines qui peuplent la terre. 

Noé culti­vait le sol et plan­ta la .

Ayant bu du vin sans en connaître la force, il s’enivra. 

Cham le vit en cet état et se moqua de lui. 

Pour le punir de sa moque­rie, Noé mau­dit disant que le fils aîné de Cham soit mau­dit, qu’il soit à l’é­gard de ses frères, l’es­clave des esclaves.

| Ouvrage : Histoire Sainte Illustrée - bd .

Temps de lec­ture : 2 minutes
Noé : le Déluge - la montée des eaux durant 40 jours

Quand fut entré dans l’arche, avec tous les , la mer sor­tit de son lit et la pluie tom­ba pen­dant qua­rante jours et qua­rante nuits, si bien que

l’eau s’é­le­va de plus de sept mètres au-des­sus des plus hautes mon­tagnes, inon­dant tout,

L'arche de Noé repose sur le mont Ararat

Après ce temps, la pluie ces­sa, le vent souf­fla et les eaux dimi­nuèrent, de telle sorte que l’arche s’ar­rê­ta sur le mont Ara­rat en Arménie.

Noé lache un corbeau puis une colombe

Qua­rante jours après, Noé ouvrit la fenêtre et lais­sa aller un cor­beau qui ne revint pas, puis une colombe qui revint parce que la terre était encore cou­verte d’eau. Il atten­dit sept autres jours et ren­voya la colombe qui revint le soir même por­tant dans son bec un rameau d’o­li­vier. Puis la terre s’é­tant séchée, Noé sor­tit de l’arche.

Noé offre un sacrifice de remerciement et Dieu donne un arc dans le ciel en signe d'alliance

Alors Dieu bénit Noé et ses enfants et dit : « J’é­ta­bli­rai mon avec vous et comme signe de cette alliance, je met­trai mon arc dans le ciel et il paraî­tra dans les nuées ».

| Ouvrage : Histoire Sainte Illustrée - bd .

Temps de lec­ture : minute
Construction de l'Arche de Noé et chargement d'un couple de tous les animaux

La malice des hommes étant à son comble, Dieu vou­lut les exter­mi­ner. Seul, trou­va grâce devant le Sei­gneur qui lui com­man­da de construire une arche de bois, avec beau­coup de petites chambres, et de l’en­duire de bitume, dedans

et dehors. « Vous y ferez entrer deux de chaque espèce de tous les et oiseaux, et leur nourriture ». 

Ce que fit Noé.

Auteur : Par un groupe de pères et de mères de familles | Ouvrage : Histoire Sainte illustrée .

Temps de lec­ture : 12 minutes

IV

Ce fut au tour de Nicole d’être éveillée, quelques jours plus tard, par un drôle de bruit.

Elle s’as­sied sur son lit, écoute et crie à Bru­no qui doit dor­mir encore dans la chambre à côté :

— Entends-tu ?

Une petite voix calme répond :

— C’est Tate qui s’envole.

— Qui s’en­vole ! En moins d’une seconde, Nicole est à la fenêtre, juste à temps pour aper­ce­voir l’a­vion, qui dis­pa­raît der­rière un léger nuage, dans la lumière du matin.

Mais pour­quoi Colette serait-elle par­tie ? Qu’est-ce que Bru­no peut en savoir ? Nicole s’ha­bille en trois minutes, quitte à se laver un autre jour, et se pré­ci­pite aux nou­velles chez maman.

Maman confirme sa décep­tion, tan­dis que Pierre arrive, triom­phant, don­ner tous les détails du départ. Son père, ren­tré depuis deux jours, avait mis l’ap­pa­reil tout à fait au point. Rien n’empêchait donc Colette de faire une pre­mière excur­sion. Elle ne serait d’ailleurs pas longue. Tout le monde ren­tre­rait pour midi et Gene­viève, Jacques et les enfants étaient invi­tés à déjeu­ner, pour écou­ter le récit de ce voyage aérien.

Quand l’oi­seau se posa au ter­rain d’at­ter­ris­sage, les deux petits avaient le tor­ti­co­lis à force d’a­voir guet­té son appa­ri­tion dans le ciel bleu.

À table, on ne s’en­ten­dait pas, tout le monde par­lant à la fois, y com­pris les enfants, tel­le­ment exci­tés, que les parents sou­riants renon­çaient à les faire taire.

— Alors, c’é­tait beau ?

— Dis, Tate, de si haut, tu voyais rien ?

— Pas grand’­chose. En des­cen­dant pour atter­rir, mon pauvre Bru­no, tu me parais­sais gros comme une mouche.

— Et tu y es allée, pour­suit Nicole, au pays d’A­dam et Ève ?

— Pas encore cette fois-ci. C’eût été trop loin. Sais-tu qu’il y a à peu près mille kilo­mètres entre Bey­routh et le mont Ararat.

— Le mont Ara­rat ? Qu’est-ce que c’est que ça ?

— Je te l’ex­pli­que­rai ; mais, pour l’a­mour du ciel, laisse-nous déjeuner.

La der­nière bou­chée n’é­tait pas ava­lée, que Nicole et Bru­no se pen­daient au bras de leur tante, pour l’en­traî­ner sur la ter­rasse, afin d’ob­te­nir tous ren­sei­gne­ments utiles sur cette mon­tagne inconnue.

— Vous êtes ter­ribles, dit Colette en riant. Je ne pen­sais pas avoir des élèves si dési­reux d’ap­prendre leurs leçons.

— Ce ne sont pas des leçons, Tate, ce sont des explications !

— Bon, soit. Cepen­dant, mon petit Bru­no, le mont Ara­rat n’a aucun inté­rêt actuel­le­ment. Il rap­pelle sim­ple­ment un des grands évé­ne­ments de l’His­toire Sainte.

— Lequel ?

— Tu n’é­tais pas là l’autre jour, quand je racon­tais à ta sœur com­ment les hommes des­cen­dants de Caïn et de Seth étaient deve­nus mau­vais. Pour­tant, pour les gou­ver­ner, Dieu leur avait don­né de grands chefs de famille, qu’on nom­mait les patriarches. Ils rem­plis­saient les fonc­tions de prêtres, de juges. Dieu ne dédai­gnait pas de leur par­ler et de les ins­truire, afin qu’ils con-servent les véri­tés révé­lées et qu’ils les trans­mettent fidè­le­ment à leurs descendants.

Bru­no, les yeux ronds : Des véri­tés ré-vé-lées ?

Adam travaille et sa famille