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| Ouvrage : Histoire Sainte Illustrée - bd .

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Joseph en prison explique les songes des officiers de Pharaon

Bien­tôt par sa bonne conduite et la béné­dic­tion de Dieu, gagna la confiance de Puti­phar qui l’é­ta­blit sur tous ses biens. Or, un jour la femme de l’of­fi­cier essaya vai­ne­ment de le por­ter au mal. Joseph s’en­fuit lais­sant son man­teau dans les mains de cette mau­vaise femme qui ensuite le calom­nia odieu­se­ment auprès de son mari. Puti­phar trop cré­dule fit jeter Joseph en prison. 

Là, il vit arri­ver le grand pane­tier et le grand échan­son du roi. Ces deux offi­ciers eurent cha­cun un  : « Je voyais devant moi un cep de vigne, dit le grand échan­son, avec trois reje­tons aux­quels pous­saient des bou­tons, des fleurs

et rai­sins mûrs, je pres­sais ces rai­sins dans la coupe de Pha­raon qui en buvait le vin ». — Dans trois jours dit Joseph, vous serez réta­bli dans votre charge… Sou­ve­nez-vous de moi auprès du roi ». 

Le grand pane­tier à son tour racon­ta : « Je por­tais sur la tête trois cor­beilles de farine et les oiseaux du ciel venaient man­ger ». — « Dans trois jours dit Joseph. Pha­raon vous fera cou­per la tête, vous fera ensuite atta­cher à une croix où les oiseaux du Ciel déchi­re­ront votre chair ». 

Tout arri­va comme Joseph l’a­vait annoncé.

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Joseph vendu par ses frères à des marchands

Or, un jour, les frères de s’ar­rê­tèrent à Sichem où ils fai­saient paître les trou­peaux de leur père. dit à Joseph : « Allez voir si vos frères se portent bien et si les trou­peaux sont en bon état ». Joseph par­tit, il ne trou­va pas ses frères à Sichem mais à Dothaïn. En l’a­per­ce­vant, ses frères dirent : « Voi­là notre son­geur, tuons-le et jetons-le dans cette vieille citerne sans eau ». Mais Juda s’op­po­sa à sa mort et le fit vendre vingt pièces d’argent à des Ismaé­lites qui allaient en .

Puis, ils envoyèrent au père la robe de Joseph tein­tée dans le sang d’un che­vreau tué à cet effet.

l’ayant recon­nue, déchi­ra ses vête­ments, se cou­vrit d’un sac, pleu­rant son fils fort long­temps. Les Ismaé­lites ven­dirent Joseph à Puti­phar, offi­cier de Pha­raon.

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Joseph raconte ses songes à ses frères

Les Fils de haïs­saient leur frère parce que leur père l’ai­mait plus que tous ses autres enfants et ce qui mit le comble à leur jalou­sie ce fut le récit que Joseph leur fit de deux songes qui mar­quaient sa gran­deur future : 

« Je liais avec vous, dit-il, des gerbes dans le champ : la mienne se tenait debout et les vôtres se pros­ter­naient devant elle ».

Puis encore : « Le soleil, la lune et onze étoiles se pros­ter­naient devant moi ».

Son père l’en répri­man­da, disant : « Que veulent dire ces songes ? Est-ce que votre mère, vos frères et moi vous ado­re­rons sur la terre ? »

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Le songe de l'Échelle de Jacob à Béthel

Isaac ayant béni lui dit : « Allez eu Méso­po­ta­mie qui est en Syrie et épou­sez une des filles de Laban, votre oncle. Jacob par­tit. Il allait à Haran, mais arri­vé en un cer­tain lieu qu’il appe­la Béthel il s’y reposa. 

Ayant mis une pierre sous sa tête, il s’en­dor­mit et vit en une échelle qui, posée sur la terre, tou­chait au ciel. Les anges mon­taient et des­cen­daient le long de cette échelle. Le Sei­gneur, appuyé sur le haut, lui dit : « Je suis le Dieu d’Abra­ham et d’Isaac, et toutes les nations de la terre seront bénies en vous ». Jacob s’é­veilla, se leva et dres­sa la pierre sur laquelle il répan­dit de l’huile, comme un monu­ment au Seigneur.

Le combat de l'ange avec Jacob

Pour apai­ser Esaü furieux de ce que son frère lui avait enle­vé la béné­dic­tion d’I­saac, Jacob divi­sa ses trou­peaux et en envoya une par­tie en avant. Lui res­ta dans son camp ; sou­dain, il vit venir à lui un homme qui lut­ta contre lui jus­qu’au matin. Cet homme voyant qu’il ne pou­vait le vaincre lui tou­cha le nerf de la cuisse qui se sécha aus­si­tôt, et il ajou­ta : « On ne vous nom­me­ra plus Jacob à l’a­ve­nir, mais  ». Et il le bénit. Jacob se leva, mais se trou­va boi­teux d’une jambe. C’est pour cette rai­son que les enfants d’Is­raël ne mangent pas du nerf de la cuisse des bêtes se sou­ve­nant de celui qui fut tou­ché en la cuisse de Jacob.

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Esaü vend son droit d'aînesse pour un plat de lentilles à Jacob son frère

, femme d’I­saac mit au monde deux fils jumeaux : Esaü, qui était roux et tout velu, et , ain­si nom­mé parce qu’il tenait de sa main le pied de son frère. Esaü devint un habile chas­seur. Jacob, homme simple, demeu­rait à la mai­son. Un jour, Jacob ayant fait cuire de quoi man­ger, Esaü revint des champs fort fati­gué et dit à son frère : « Don­nez-moi de ces mets roux ». Jacob répon­dit « Ven­dez-moi votre droit d’aî­nesse ». Esaü accep­ta et, ayant pris du vin et le plat de len­tilles, man­gea et but, puis s’en alla, se met­tant peu en peine d’a­voir ven­du son droit d’aînesse.

Isaac accorde sa bénédiction à Jacob

Isaac, deve­nu vieux et presque aveugle, envoie Esaü à la chasse pour lui rap­por­ter le gibier qu’il aime. Pen­dant ce temps, Rébec­ca com­mande à Jacob, qu’elle pré­fère à son frère, d’al­ler au trou­peau et de lui rap­por­ter deux des meilleurs che­vreaux. Elle pré­pare à Isaac un plat comme il l’aime, recouvre les mains et le cou de Jacob de la peau du che­vreau pour qu’il paraisse à Isaac poi­lu comme Esaü et ain­si Jacob reçoit la béné­dic­tion de son père.