Et maintenant une histoire ! Posts

| Ouvrage : Histoire Sainte Illustrée - bd .

Temps de lec­ture :  1 minute
Joas oint par le grand prêtre contre Athalie

Joram, roi de Juda, épou­sa la très impie , fille d’Achab et de Jésa­bel. Elle eut un fils Acho­sias. Après un an de règne, ce fils périt de mort vio-lente. Or le père étant mort aupa­ra­vant, Atha­lie vou­lut régner seule et pour cela, fit périr toute la famille royale. Mais le der­nier-né, , fut empor­té de son ber­ceau dans le et ain­si échap­pa au mas­sacre. Atha­lie régnait depuis six

ans dans l’im­pié­té et le crime quand son repos fut trou­blé par les cris de « Vive le Roi ». C’est que le Grand Prêtre venait de confé­rer l’onc­tion royale à Joas, qui avait sept ans, au milieu des chefs et des sol­dats qui l’entouraient. 

Elle se pré­ci­pi­ta alors vers le temple, d’où venait le bruit des trom­pettes et vou­lut fran­chir les rangs des sol­dats. Mais on l’en­traî­na et on la mit à mort dans son palais.

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Temps de lec­ture :  1 minute
Salomon dans toute sa gloire

En rai­son de sa forte armée (14 000 chars, 12 000 che­vaux de selle et 10 000 stalles pour les che­vaux des­ti­nés à ses chars), était craint et res­pec­té de tous les rois voi­sins et don­nait ain­si la paix à son peuple. Ses richesses étaient for­mi­dables : son trône était d’i­voire incrus­té d’or pur ; des lions d’or en

sou­te­naient les bras et en ornaient les degrés. Sa vais­selle et les bou­cliers de ses gardes étaient d’or. Ses flottes rap­por­taient d’outre-mer des tré­sors fabuleux. 

Mais sa grande œuvre fut la construc­tion, dans , d’un mer­veilleu­se­ment riche, dédié au Seigneur. 

Nul roi ne fut en Israël aus­si glo­rieux que Salomon.

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Temps de lec­ture :  1 minute
Le jugement de Salomon

Il fit bien­tôt preuve de cette dans un deve­nu célèbre. Deux femmes se dis­pu­taient la pos­ses­sion d’un enfant nou­veau-né, cha­cune décla­rant qu’elle en était la mère. « Pre­nez votre épée, dit-il, à l’un de ses offi­ciers, par­ta­gez en deux cet enfant et don­nez-en une moi­tié à cha­cune ». L’une d’elles consentait

au par­tage, mais l’autre s’é­cria : « Sei­gneur, ne frap­pez pas l’en­fant ; don­nez-le plu­tôt à cette femme, mais qu’il vive ». Le roi répon­dit sim­ple­ment : « C’est vous qui êtes la vraie mère ».

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Salomon offre des holocaustes au tabernacle

À la mort de Saül qui fut le pre­mier roi d’Is­raël, monte sur le trône et après qua­rante ans de règne laisse le pou­voir à son fils .

Salo­mon n’a­vait que dix-sept ans lors­qu’il suc­cé­da à David. Aus­si­tôt après son mariage, il orga­ni­sa une grande céré­mo­nie reli­gieuse sur les hau­teurs de Gabaon ou se trou­vait alors le Taber­nacle. Salo­mon offrit mille holo­caustes sur l’au­tel car il aimait le Sei­gneur, se condui­sant sui­vant les ordon­nances de David son père.

Salomon demande la Sagesse à Dieu

À la suite de cette solen­ni­té, Salo­mon eut un songe dans lequel Jého­vah lui appa­rut et lui dit de deman­der ce qu’il vou­drait. « Sei­gneur, répon­dit-il, je ne suis qu’un enfant… 

« Accor­dez-moi la afin que je conduise votre peuple dans vos voies ». 

Salo­mon fut exau­cé. Dieu le ren­dit le plus sage, le plus magni­fique et le plus puis­sant des rois d’Israël.

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Goliath vaincu par David et sa fronde

Les Phi­lis­tins étaient venus com­battre les Israé­lites. Une val­lée sépa­rait les deux armées ; et là, un Phi­lis­tin de plus de deux mètres de haut, nom­mé , cas­qué et cui­ras­sé d’ai­rain venait chaque jour défier Israël. 

venu au camp pour prendre des nou­velles de ses frères, aper­çut Goliath et rem­pli d’une inébran­lable confiance en Dieu, sup­plia Saül de le lais­ser com­battre ce géant — « Va, et que Dieu soit avec toi » dit Saül.

David prit alors son bâton, choi­sit dans le tor­rent cinq pierres polies, les mit dans sa jar­re­tière et s’a­van­ça au devant de Goliath. Le jeune homme lan­ça alors avec sa fronde une pierre qui frap­pa au front le Phi­lis­tin et le fit tom­ber la face contre terre. Tirant de son four­reau l’é­pée du géant, David lui cou­pa la tête et les Phi­lis­tins devant cette tète san­glante s’en­fuirent épouvantés.